Vous avez vu l'enchaînement habile avec le titre de l'épisode précédent ? Hum… Être réduit à ça montre qu'on n'a pas grand-chose à dire.
Depuis cet épisode précédent : beaucoup trop de technique à mon goût – et je crains que ça ne s'arrange guère. Je suis un peu en pilotage automatique en ce moment, intelligence abstraite tournant toute seule sans contrôle et sensibilité quelque peu engourdie. M'enfin il y a encore de la ressource, et dans le proche avenir quelques photos que j'espère agréables.
En attendant, causons abstraction concrétisée.
Dans la rubrique ne prenons pas la grosse tête
j'ai enfin remarqué une bourde grossière dans la gestion des fonds animés. Vous avez cinq minutes ?
Au début de cette histoire je ne me sentais pas encore assez costaud en JS pour ajouter des éléments partout. Je m'étais donc contenté de faire de ces fichiers animés l'image de fond de l'élément body du blog, les livres constituant l'image de fond de l'élément html : le gif animé était posé par-dessus les livres. Et puis le design s'est enrichi à certains endroits, autrefois transparents, de versions plus sombres de la bibliothèque. Je me suis alors lancé dans diverses complications de CSS pour que le gif animé serve aussi de fond à d'autres éléments contenus dans ces éléments à fond sombre, histoire de répéter la superposition du gif animé et du fond (sombre) de livres. Vous suivez toujours ? Si bien que ce gif animé s'est retrouvé servir d'image de fond à deux, trois ou quatre éléments. Comme ces deux à quatre animations se superposaient au pixel près, la composition d'ensemble restait correcte. Mais comme il fallait faire bouger entre deux et quatre exemplaires au lieu d'un seul, le navigateur se traînait. Et je me demandais bien pourquoi…
Aujourd'hui que je suis grand et fort et très intelligent, j'ai repris la question à la base. Plus d'image de fond mais un div et un seul, glissé avec précision et du JavaScript au bon endroit de la pile de feuillets décoratifs. Le désormais unique exemplaire de l'animation tourne avec plus de rapidité et de fluidité. C'est particulièrement net pour la séquence où une chimère crache le feu sur un malheureux panneau routier : un certain petit trépignement méchant est enfin rendu comme je le voulais depuis le début. À mon âge, on a des joies simples.
Dans la rubrique prenons la grosse tête
je crois avoir porté la colonne de modules à son maximum de compacité : le calendrier est désormais dedans, seuls dépassent la recherche (avec petit texte gaguesque, vous aviez vu ?) et le lien vers OverBlog.
Autre motif de contentement : il n'y a plus une seule barre de défilement dans ces menus. Les barres de défilement, c'est vilain et ça complique le design, donc bon débarras. Il s'en trouvait une dans la longue liste de liens. Après une tentative pas très convaincante de renvoyer le lecteur à l'article présentant tous les liens en détail, j'ai préféré répartir les liens en quatre listes : moins de clics, c'est toujours bon à prendre.
Bon, alors, ces photos ?